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| the good instants always make up, millie. | |
| Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: the good instants always make up, millie. Lun 31 Aoû - 22:00 | |
| « Voyez-vous dans la vie, il n'y a pas de solutions. Il y a des forces en marche : il faut les créer, et les solutions les suivent. » St Exupéry. On en voyait jamais ce que la vie voulait nous montrer et encore ce pourquoi nous étions nait. A vrai dire la vie savait se montrer cruelle envers un individu mais elle savait aussi vous montrez combien il est bon de se rapprocher de sa famille. Cette dernière pouvait être distante et hypocrite comme elle pouvait se montrer astucieuse et heureuse, lorsque vous vous en donniez les moyens. Le jeune écrivain en herbe savait éperdument que l’existence de la vie humaine était précieuse, sa vision avait quelques peu changée depuis qu’il était en couple avec Blueberry et bien qu’il tienne à sa nièce il fallait avouer que parfois sa perception du monde était fortement dosée d’un pessimisme pas croyable. Quoi qu’il en soit ses choix ne regarder que lui uniquement et point final aux problèmes. Cette après midi là, alors que son professeur de langues anciennes vint annoncer a ses élèves qu’il annulait son cours pour raisons de dernières minutes et personnelles, le jeune britannique opta alors pour bosser un peu. L’avantage depuis qu’il était étudiant était qu’il avait son propre appartement et ce sans l’aide de son paternel avec lequel les relations étaient des plus tendues. Rien de bien intéressant puisqu’il en avait oublié le contenu préférant ne pas se prendre la tête pour des « broutilles » aussi insignifiantes soit elles.
Alors qu’il sortait de l’amphithéâtre un énorme livre des mythologies grecque sous la main, Samuel descendit nonchalamment les marches de la sortie du bâtiment. Vraisemblablement une petite foule de monde était au rendez vous, ce qui ne le surpris guère - bien que les membres de sa session ne demeurent qu’un petit nombre dans cette matière-. Les regards qui le jaugeaient n’avaient guère changés depuis la période du lycée et la gent féminine le toisait toujours autant sans qu’il ne demande rien. En y pensant il se disait que rien ne changerait et c’était tout. Haussant les épaules d’un regard je m’enfoutiste et ironique, le brun aux reflets de bronze se dirigea vers sa voiture. Une fois arrivé aux abords de son véhicule de sport noir, le Underwood se glissa a l’intérieur et se mit en route vers le centre ville, tout en réfléchissant a ce qu’il pourrait faire de son après midi. Ayant des résultats excellents - bien qu’il ne se repose jamais sur ses lauriers - l’ange rigolard opina pour laisser sa conscience vagabonder à la détente. Bien sur, les embouteillages étaient grandissant en cette heure de midi, mais patient comme il était cela ne lui posait aucuns problèmes majeurs. La musique des Rolling Stones passait en musique de fond à la radio, lorsque son portable se mit à sonner. Sa sœur lui demandait s’il pouvait passer prendre sa nièce après l’école soit dans quelques heures. Ne pouvant refuser un service à sa frangine, le jeune taciturne saisit son cellulaire a nouveau et eut l’idée de revoir sa cousine, Millie. Cette dernière était l’un des membres de sa famille outre sa sœur et sa nièce pour qui il portait une attention protectrice et attachante particulière.
Samuel envoya alors un message rapide sur le portable de sa cousine, en lui donnant rendez vous à l’entrée du parc de Providence où quelques années auparavant ils allaient joués de concert pour rire et passer du bon temps. |
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| Sujet: Re: the good instants always make up, millie. Lun 31 Aoû - 23:06 | |
| La tête dans les bouquins, Millie relisait son cours de la matinée. L’option qu’elle avait choisir n’était pas des plus facile : l’antiquité. Son amour pour l’histoire était totalement inexpliquable, il s’agissait de la seule chose qui pouvait la faire décrocher pendant quelques heures. & malgré le fait qu’elle avait assistée au cours le matin même, elle voulait à tout prix commençer sur un bon pied, & être assidue dès les premiers jours. La bibliothèque était quasiment vide, mis à part la bibliothéquaire et un ou deux étudiants cherchant les livres de cours qu’ils n’ont pas pu acheter. Millie était l’unique à travailler réellement. On avait beau lui attribuée l’étiquette de la droguée depuis le collège, personne ne pouvait dire d’elle qu’elle était une imbécile ou une feignante. Justement, la blondinette est certe une illuminée, c’est aussi une bosseuse & une passionnée. Elle sait que la chance tournera, & que sa vie prendra toutes ses formes à la fin de ses études. Que ses problèmes prendront fin avec celles-ci.
Millie s’accordait des minis pauses toutes les 30 minutes pour ne pas sortir de la bibliothèque avec un mal de tête immense, durant la dernière de celle-ci, la jeune blonde sortie son portable & constata que son cousin lui avait envoyer un message. Un sourire se dessina sur son visage instantanément, cela faisait des lustres qu’elle ne l’avait pas vu. & pour ne rien cacher Samuel est l’unique personne de sa famille que Millie continue de voir. Depuis la mort de son père, la demoiselle n’a plus adressée la parole à sa mère. Samuel lui, venait de perdre sa mère, ce genre d’épreuve vous rapproche. Il fut la seule & unique personne à soutenir Millie & elle lui en sera toujours reconnaissant. Elle répondit positivement au message. Après quoi, elle rangea sa trousse & son bloc note. Elle prit les livres & se dirigea vers la bibliothéquaire pour les emprunter. En sortant du bâtiment Millie enfila son chapeau & ses lunettes de soleil, conservant les livres sous son bras. Ils allaient surement la gêner pour marcher vu la grosseur mais peu importe. Lorsqu’elle arriva au parc, il était là à l’attendre. En même temps c’est facile quand on a une voiture. « Je croyais que tu étais mort Clark ! ». Clark ? Mais oui comme Clark Kent ! Depuis que Samuel s’était déguisé en Spider Man à une soirée d’Halloween tout petit, Millie avait garder ce surnom. « Ca doit faire deux semaines que je n’ai plus de tes nouvelles … Comment s’appelle-t-elle ? » Millie le connaissait par cœur !
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| Sujet: Re: the good instants always make up, millie. Sam 5 Sep - 22:18 | |
| « Et souviens-toi encore que chacun ne vit que le présent, cet infiniment petit. » Marc Aurèle.
Beaucoup d’individus pensaient que le passé ne cessait de les poursuivre tout le temps de manière redondantes, tandis que d’autres s’efforçaient de croire en un futur fortement meilleur que leurs espérances propres. Et il y avait ceux bordaient d’un fatalisme - ou non - qui vivaient dans la philosophie du « vivons demain comme si cela était le dernier ». Cette expression était bien dite et pensée dans un sens. Oui, il était important de le mentionner mais il est aussi tout aussi important de souligner que ce sont ces personnes qui au final jouissent pleinement de leur vie. Cette dernière s’avérait tellement difficile et malheureuse parfois, qu’entrevoir un peu de bonheur est parfois unique. Rare était les moments de joie opportun, et fréquent pouvait se faire les mauvaises nouvelles. Pourtant en dépit de ces situations dont on pouvait se passer très franchement, elles apportaient aussi leurs lots de consolations et faisaient pleinement avancer l’humain quelques fois. Pour ce qu’il advenait du jeune homme aux reflets de bronze, les évènements antérieurs avaient fait de lui une personne aux épaules rudes et a la tête froide. Il savait ce qu’il devait faire et ce qu’il ne devait pas faire. Un peu trop fataliste sur les bords mais de déconneur de première lorsqu’il s’agissait de profiter du moment précis, le Underwood demeurait un être humble un peu trop de temps en temps. Les liens qu’il tissait ou bien qu’il avait pu tisser au fil de son existence étaient fort semblable au fil d’Ariane. Vous pouviez être sur comme certain qu’ils étaient solide et dur comme du roc. Le britannique ne rigolait guère sur les liens amicaux et encore moins sur la relation affective qu’il avait pu nourrir avec une certaine personne. Un diction prétend qu’on ne choisit pas ses parents et encore moins sa famille. La dessus, il était tout à fait partant bien qu’il émette que quelques personnes de son entourage dérogent à la règle. En effet, Samuel nourrissait envers son paternel une colère concentré en haine et en reproches - bien qu’il savait éperdument que le rôle de parents était complexe - ; cependant envers sa sœur et sa cousine, l’ange rigolard savait se montrer très présent. En tant que cadet des Underwood, Samuel n’avait eu la chance de s’occuper d’un petit frère ou d’une petite sœur, mais la présence de sa cousine Millie avait inversée la tendance.
Cette dernière était une personne attachante et souriante. Elle avait connue tout comme lui le drame de perdre un être cher, celle qui pouvait demeurait votre propre point de repaire. Le décès de la mère de Samuel avait eu un effet inattendu chez le jeune anglais tel un effet boule de neige dans une économie donnée. La métaphore peu paraitre très risible, certes, mais au final le résultat a des conséquences. Pour citer un ermite ? Vous ne citeriez pas mieux que l’étudiant en archéologie qu’il constituait à l’heure actuelle, mais pour nommer une personne adorable et drôle le prénom de sa cousine était celui à dire. Ces deux là avaient beaucoup et peu en commun, et les souvenirs qu’ils avaient pus garder ensemble, ils les préservaient et en riaient de bon cœur aux jours d’aujourd’hui. Lunettes de soleil sur le beau de son nez, Samuel attendait patiemment sa « petite » cousine. Il savait éperdument qu’elle viendrait car cela faisait un bon bout de temps qu’ils ne c’étaient vu. Depuis les congés d’été, et la rentrée qui était arrivée beaucoup trop vite selon lui, le mystérieux avait été pris de toutes part. Reprendre le fil de son quotidien, poursuivre une fois plus le cursus de l’université … C’était énorme et rien à la fois. Mains dans les poches de son pantalon, il se retourna dès lors et reconnu une démarche et une silhouette qui ne lui était pas inconnue. C’est alors que l’identité de sa cousine lui permis d’esquisser un mince sourire espiègle sur ses lèvres. Quelques minutes plus tard, ce fut sur un rire amusé a l’entente de son surnom, que le jeune homme serra Millie dans ses bras. Il la relâcha alors puis répliqua sur une intonation calme et souriante. « Mais Clark ne meurt jamais Petit Chaperon rouge ! ». Quel surnom d’où la provenance remonte a l’une de ses anciennes fêtes d’Halloween. Secouant doucement la tête pour balayer se souvenir ironique de son esprit, Samuel relava ses lunettes de soleil sur sa tête et toisa d’un regard interrogateur le visage jovial de la demoiselle Reynolds. « Comment s’appelle qui ?! ». L’ange rigolard arqua un sourcil tout abordant un sourire en coin. Il avait une idée sur la question, mais au son de paraitre ridicule il préférait laisser sa cousine ouvrir le sujet. Après tout le ridicule ne tuait personne, si ? |
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