Liam était monté dans un autobus du Connecticut pour y descendre, monter dans un autre autobus et ainsi de suite, jusqu’à cette ville qui allait être son nouveau tombeau. Il allait s’y asseoir et attendre patiemment que sa vie insipide découle son flot de banalités. Il s’était laissé conduire jusqu’ici, la tête appuyée contre les fenêtres des plusieurs autobus dans lesquels il était monté. Tout le trajet, le paysage avait été fade et brumeux. Le temps était froid et il avait froid. Ses membres étaient engourdis et sa tête lourde. Il voulait dormir. Il était épuisé. Il avait cette impression qu’une gigantesque main de fer lui écrasait les côtes et le menait contre son gré, vers un lieu qu’il redoutait. Premièrement on le condamnait à étudier une science qui ne l’intéressait pas et par-dessus tout, on l’éloignait de sa sœur et de son seul ami. Il allait se retrouver complètement seul. Quoique c’était peut-être le temps de changer. Certes, c’était le moment idéal. Il pouvait laisser tomber son habit de gentil chien-chien obéissant pour enfiler celui de l’étudiant séduisant, intelligent et fêtard. Cette pensée était ironique puisqu’il savait pertinemment qu’il était bien tel qu’il était.

Liam sourit en pensant à tout cela et en s’avançant dans les remparts d’une école qu’il ne connaissait toujours pas. Des murs de pierre allaient cloîtrer ses passions encore quelques années. Il suivait les flèches et les indications qui allaient le mener à l’accueil administratif. Là-bas on allait lui fournir son horaire et un tas d’informations peu pertinentes.

À destination, il dit bonjour à la femme de l’accueil, puis il lui dit son nom. Elle lui remit donc quelques documents. Il se retourna ensuite et soupira. Son visage exprimait l’inquiétude et une certaine amertume.

Cela faisait maintenant un bon bout de temps qu’elle roulait. Enfin, elle y était arrivée. Pendant son voyage, elle avait fait quelques petites haltes ici et là pour manger et faire ses besoins. Lorsqu’elle mangeait, elle avait toujours avec elle un livre qu’elle lisait. Fait amusant : on voyait rarement Elizabeth avec le même livre. On pouvait croire qu’elle en lisait plusieurs à la fois. Quoiqu’il en soit, elle eut un sentiment de soulagement en arrivant. La jeune Blair gara donc son véhicule dans le stationnement prévu à cet effet. Le pire dans tout ça, c’est qu’elle du regarder dans le dépliant pour être certaine de son coup.

Il n’y avait pas seulement un sentiment de soulagement qui l’animait, mais elle était excitée pour une autre raison. Elle trouverait sans doute son frère quelque part dans ce bâtiment qui ne savait même pas que sa sœur s’y était aussi inscrite. Elle prit alors la direction de l’accueil afin de prendre possession des papiers importants.

Elizabeth déambula alors, elle aussi, dans les corridors tout en se disant que ça serait son lieu de vie pendant quelques années. D’ailleurs, elle se demandait aussi si la relation avec son présent petit ami allait fonctionner. Elizabeth ferait tout en son pouvoir pour que cela fonctionne.

Puis, elle entra à l’accueil au moment ou son frère se retournait avec son expression d’amertume et d’inquiétude. Sur le coup, elle fut surprise, mais spontanément ces mots s’échappèrent de sa bouche :

-Allons, fais pas cette tête! Ta grande sœur est là!

Elle ouvra donc grandement les bras avec un grand sourire. Au fond d’elle, elle était si heureuse de le voir maintenant. Cela lui éviterait sans doute de le chercher dans les corridors de cette établissement qu’elle ne connaissait pas, d’ailleurs.

Le voyage allait être difficile. Il avait l’impression d’être un louveteau parmi une tempête ravageuse. Il avançait péniblement et la tête basse à travers sa destiné. Où allait-elle le porter? Dans un bureau qui sentait l’humidité, enfermé pour toujours à écouter des âmes faibles de lamenter de leur vie pourrie? Sur ses pensées, Liam déglutit péniblement. Il avait une corde attachée au cou et s’il ne la coupait pas bientôt, il allait se pendre lui-même. S’il serait un homme un vrai, il serait inscrit en musique, il aurait une copine et un tas d’amis. S’il serait un homme… Pourtant il avait l’impression d’être perdu dans un corps trop grand pour lui. D’où lui venait cette résistance à grandir? Il était en psychologie et pas foutu de s’analyser lui-même…

Liam s’était arrêté de marcher en pensant à tout cela. Il avait plus envie de reculer que d’aller visiter cette université pour s’y familiariser. Son regard s’était une nouvelle fois perdu sur ses chaussures. Néanmoins, une voix familière le fit sortir de sa torpeur. Sa sœur…
Il leva donc rapidement son regard vers Élizabeth qui s’avançait à lui à bras grands ouverts. Toutefois, Liam resta paralysé. Il contempla sa sœur de bas en haut et haussa un sourcil, l’air perplexe.

« Bon ça y est! En plus d’être complètement seul et mortifié, me voilà schizophrène! »

Il recula d’un pas en pointant du doigt sa « vision ».

« Recule sale vision! Commence oses-tu prendre la forme de ma sœur chérie! »

Il interpréta quelques gestes théâtrales très exagérés pendant son délire. Puis, il se mit à sourire tout en reprenant son sérieux. Il s’avança alors vers sa sœur et la prit dans ses bras, la souleva de terre et lui fit faire deux tours sur lui-même. Il la reposa par la suite, toujours souriant.

« Mais qu’est-ce que tu fiches ici? »

Frederik été sur le point de partir, avec sa voiture grise que son père lui avait acheté, une Honda civic très simple, mais économique. Sa mère, Alice, le regardait embarquer ses bagages par la grande fenêtre du salon. Elle était très émotive, de voir partir vers les Étas-Unis son bébé de 23 ans. Il n’avait pas beaucoup de bagages, il n’avait emporté que le stricte nécessaire, ses effets d’école renouvelés, dans un sac à dos, et son linge dans deux valises assez grandes mais facile de transport. Il jeta un coup d’œil à la cours arrière ou Peter était toujours assis avant son décès, espérant l’imaginer encore une dernière fois avant son aventure.

Une fois la voiture préparée, Fred retourna à l’intérieur pour serrer sa mère dans ses bras. Il prit le visage de sa mère entre ses mains
et l’embrasse 16 fois, pour toutes les semaines avant le congé de fête. Sans mot, il dessina un cœur sur la poitrine de celle-ci et la serra de nouveau. Les yeux plein d’amour et recula vers la porte et sorti avant de fondre en larme.

Dans sa voiture, il quitta sa ville chérie, à la radio c’était Three de Britney qui jouait. La musique permettait de partir sans trop de chagrin, alors Frederik monta le son pour totalement sentir le beat dans ses veines. On conduisant il écoutait la voix de cette chanteuse controverser qui les paroles lui remémorait sa famille de
trois, ses parents et lui… La tête balança au rythme de la musique de gauche à droite, il sentait que c’était un départ bénéfique.

One, two, three et voilà la sorti de la ville. Le trajet allait être long, la musique dans le tapis Frederik roulait prudemment jusqu’à Providence, sa providence. Une école sur laquelle il a tombé par hasard sur net. Sa nouvelle vie allait commencer…

La façade de l’école apparu afin devant lui. L’allure de l’école, lui fit rappeler les films américains, son rêve d’adolescent devenait réalité. Il stationna sa petite voiture et sorti ses documents pour l’inscription, il avait été placé sous la confrérieBÊTA ALPHA THÊTA. Il sorti donc ses bagages et les trainaient avec lui jusqu’à l’accueil.

Lorsqu’ il arriva dans le cadre de la porte Frederik pu assister à une retrouvaille qui le rendit émotif. Il voyait l’amour fraternel devant lui… il ressentait se vide de n’avoir personne à protéger, personne pour communiquer ses dilemmes avec ses parents.

Fred à paralyser devant cette scène bloquant la porte…

Il avança un peu pendant qu’ils parlaient ensemble pour aller s’enregistrer comme il se devait, mais une envie profonde de leur donner un câlin, était présent… Seulement pouvoir partager la joie qu’ils éprouvaient l’un envers l’autre, pouvoir ressentir la joie d’avoir un petit frère.

Il donna donc ses papiers et signa ce qu’il avait besoin. Une fois l’enregistrement fait, Fred se tourna et s’écarta du bureau pour
examiner son horaire. En même temps, il pourrait peut-être prendre contact avec eux, avoir de nouveaux amis…

Elizabeth pouffa de rire en levant les yeux au ciel. Son frère avait son propre sens de l’humour qui l’amusait. Elle le sera fort dans ses bras pendant son voltige dans les airs, heureuse de cette preuve d’affection. D’un ton amusé, elle dit :

-Tu ne changeras jamais! Sais-tu ce que veux dire être sérieux?

Elle lui fit ensuite une petite grimace, d’un air moqueur. Elizabeth était au courant que son arrivé était impromptu. D’ailleurs, elle avait préféré ne rien lui dire, et ce, même lorsqu’elle avait reçu la lettre d’acceptation. Même si elle avait retardé ses études de deux ans, dans le cadre d’un échange afin d’apprendre l’espagnol, elle se sentait drôle d’être en même année que son frère.

-Tu sais bien que je suis venue t’espionner! Tu ne te débarrasseras pas de ta sœur aussi rapidement.

Elle fit un petit sourire en coin. Elle ajouta ensuite:

- Non, en fait, je viens étudier ici… et devine en quoi?

Elle lui fit ensuite un petit clin d’œil et c’est à ce moment précis qu’elle cru remarquer un jeune homme les regarder. Il lui semblait avoir sentir le poids d’un regard pendant les retrouvailles avec son frère, mais elle ne pouvait pas être à cent pour cent certaine. Pourtant elle avait sentit quelque chose d’étrange dans le regard. Sans plus se poser de question, elle détourna alors les yeux vers son frère, afin de ne pas perdre ce qu’il allait lui répondre.

Liam se sentait déjà plus léger. Sa sœur allait l’accompagner dans l’apprentissage du cerveau zélé qu’un les hommes. Ils pourraient étudier ensemble et même faire leurs travaux d’équipe ensemble. Ça lui paraissait bizarre de s’imaginer partager les mêmes classes que sa sœur aînée. Il ne manquait plus que son meilleur ami apparaisse pour que tout soit parfait. Quoique Liam s’était promit de réussir à se construire un cercle social par lui-même cet année. Au diable les visions d’horreurs de l’enfance et du

lycée. Il allait maintenant foncer la tête bien haute. Sur ces nouvelles pensées, il sourit à sa sœur.

« Je suis heureux de te voir ici. »

Élizabeth lui demanda alors de deviner dans quel programme elle allait être. Liam se mit alors à rire de façon très sarcastique. Il croisa les bras, puis leva les yeux vers le plafond, comme s’il y songeait.

« J’en sais trop rien… Heu… Les arts très probablement. Peut-être le cinéma… Je ne sais pas trop. »

En voulant replonger ses yeux dans ceux de sa sœur, il remarqua un jeune homme qui semblait aussi nouveau et désorienté que lui. Il lui sourit donc gentiment, pour
retourner à sa sœur.

« Bon alors on fait tout nos travaux de psycho ensemble. Les oraux, l’étude, les travaux écrit… »

Il lui passa alors son bras autour des épaules pour l’obliger à s’avancer avec lui. Il entama alors une marche vers l’inconnu.

« Bon alors… On pourrait aller… Hummmm, voir les classes ou… »

Il stoppa net sa marche et se mit à lire les écriteaux sur les murs.

« On est où là au juste? »

haussa un sourcil, tout en regardant tout autour.

Fred regardait ses cours, l’emplacement qu’il occupait sur
le campus… Les cours portaient tous des noms aussi scientifiques que bizarres, le seul qui lui était rassurant était bien sur la natation. Les yeux rivés sur ces papiers, il pu remarquer que sa présence avait été observé, le jeune homme lui avait souris, ce que Fred retourna dans la même seconde.

*Voyons Fred, c’est vraiment une réaction prédéfini ce que tu viens de faire, ne lance pas des sourires ainsi à tout vent sans même les ressentir. Pourtant maman m’a toujours appris à bien exprimer mes émotions, ça doit être le changement qui me gêne.*

Les bagages à ses pieds, papiers en mains et fallait maintenant trouver et ranger cela, par la suite découvrir cette merveilleuse école de rêve.

Fred se rappela dès lors de sa première journée de classe, son père lui avait tenue la main tout au long de la visite. Les yeux pétillants
de souvenir, il commença à prendre ses valises. Dans sa lancé pour sortir de l’accueil le frère et la sœur, complice, planifiaient une visite de l’école. Ils regardaient les écriteaux pour connaître leur emplacement.

Frederik sorti alors sa carte et regarda dessus afin d’y voir le bureau d’accueil. Quelques secondes plus tard il trouva et trouva aussi son dortoir. Voulant les aider il s’avança donc vers eux en tendant la carte devant lui.


- Excusez-moi ! Je vous ai entendu parler et
si on regarde sur la carte, nous somme ici.


Tout en montrant du doigt l’endroit.


- Je suis nouveau ici, je crois que vous faites un tour de visite j’aimerais bien aller avec vous, mais avant j’aimerais passer à la confrérie BÊTA ALPHA THÊTA pour y déposer mes valise.

Son teint était devenu rouge, le petit être gêné qu’il était venait de s’inviter et sur son visage nous pouvions lire : Mais de quoi je me mêle encore.

- En passant, mon nom c’est Frederik St-Vincent.


Sur ces mots, il tendis donc une main et laissa les bagages
devant l’entré.

Les arts? Elle n’y avait pas songé. La personne qui aurait du le plus y songer entre elle est lui est bien lui. Malheureusement, elle savait que leurs parents avaient décidé de mettre pression sur Liam afin d’obtenir ce qu’ils désiraient.

- Oui si tu veux, j'aimerais bien.

Elle se laissa donc porté par les épaules sans résister. Elle ne pu s’empêcher de rire lorsqu’il déclara qu’il ne savait pas du tout où il était. Elle secoua négativement la tête, mais ne pouvait pas vraiment dire, elle non plus, ou ils se trouvaient. Elizabeth répondit par la suite :

- Eh bien…

Elle coupa net sa phrase, car un individu c’était approcher d’eux et l’avait interrompu dans sa lancée. Elie reconnu alors le jeune homme qu’ils avaient aperçut quelques secondes plutôt. Puisqu’elle avait été élevée dans une famille assez stricte, elle savait généralement comment agir par politesse, elle lui fit donc son plus beau sourire. Puis, elle détourna les yeux sur la carte tout en l’écoutant parler. Par la suite, elle lui répondit :

- Tiens, merci beaucoup. Cela serait une très bonne idée d'y avant. J’ai moi-même mes valises à y porter. Pas toi, Liam?

Lorsque Frederik leur tendit sa main, Elizabeth se dégagea gentiment de son frère et s’avançant pour prendre chaleureusement la main du jeune homme dans la sienne. En regardant directement dans ses yeux, elle lui dit :

- Et le mien est Elizabeth Blair.

Elle lâcha ensuite sa main en tourna le regard vers son frère.

Dans son élan, Liam fut coupé par le jeune homme auquel il avait sourit. Il lui semblait plutôt confiant et sympathique. Il fit donc comme sa sœur et se retourna pour regarder la carte. À la vue de cette dernière, il fut surprit de voir que l’université lui semblait si grande et si complexe à l’intérieur. Cela dit, il avait du temps à tuer avant le début des cours donc ce n’était pas vraiment un problème.

Par la suite, le nouveau venu souligna son désir d’aller à sa confrérie (la même que la sienne) avant de débuter le tour des lieux. Il devait aller y déposer ses valises et Élizabeth l’appuya tout en lui demandant où étaient passées les siennes.
Valises…

Liam ouvrit très grands les yeux tout faisant un tour sur lui-même pour balayer du regard le couloir où il était. Où elles étaient ces…

« Merdouille, merdouille, merdouille, merdouille… »

Il susurra ces jurons puis débuta une marche rapide vers le secrétariat encore près des trois nouveaux étudiants. Elles n’étaient pas là… Il les avait oubliés dans l’autobus qui l’avait conduit ici. Très embêté, Liam retourna donc auprès de sa sœur et du jeune homme tout en se grattant le derrière de la tête. Ses joues avaient rosies légèrement et il regardait de nouveau ses chaussures.

« Heu… oui et moi c’est Liam Blair! »

Il parla très fort et son ton semblait quelque peu anxieux. Il voulait à tout pris éviter la conversation à propos de ses valises. Il s’avança pour serrer la main de Frédérik, pour recula d’un pas.

« Bon on y va? Je suis aussi à la confrérie Bêta Alpha Thêta. »

Frederik gêné par son approche regardait la scène d’un œil pendant
que ses pensés affluaient à un rythme accéléré. Il devait se refaire un cercle d’ami, à vrai dire il devait se faire des amis, ce qu’il n’a jamais vraiment eu le temps d’entretenir à Estevan au Canada. Les amis pour lui c’était secondaire, car la seule chose qui ne meurt jamais est l’amour et la franchise que l’on peut avoir avec sa propre famille. Maintenant tout changeait, son père n’étant plus là et sa mère à l’autre bout du monde lui manquera s’il n’arrive pas à s’adapter dans son nouveau climat social.

Élizabeth une charmante fille et Liam un jeune homme plutôt distrait était ses premiers contact. Il les regarda attentivement afin de déterminer la meilleure façon d’agir avec eux. Il était clair qu’ils avaient été bien élevés, de plus leur relation était à tout point de vue solide.

Fedrerik n’avait jamais eu le besoin de faire de nouvelle rencontre, il avait passé son primaire, son secondaire et son collège avec les mêmes personnes, mais ceux-ci ressemblaient étrangement à la famille Kilton, une famille unis et forte.

Il pu identifier Liam comme un intellectuel constamment dans ses pensés, il le regardait cherchant ses valises et cela détendait l’atmosphère. Il serra la main d’Élizabeth et se retourna lorsque son frère arriva sans bagages dans les mains.

Frederik fut soulager d’apprendre que Liam était dans la même confrérie que lui et il s’exclama :

- Oui je suis prêt, Je suis content d’avoir rencontré quelqu’un qui habitera dans la même confrérie que moi. Liam, as-tu eu le temps d’y aller avant de venir t’enregistrer ?

Il reprit donc ses bagages et se tourna vers la sorti pour amorcer la marche vers la confrérie Bêta Alpha Thêta lorsque les deux autres commenceront.

Ellie fronça les sourcils, l’air plutôt anxieux de son frère à propos de ses valises la rendit plutôt perplexe. Elle préféra, et de loin, à se pas songé à ce qui aurait pu arriver. Elle connaissait suffisamment son frère pour savoir qu’il avait surement fait une bourde. Puis d’un air incertain, elle dit :

-Tu as un problème Liam? Tu cherches tes valises où…?

Mais elle se tue, puisqu’il avait décidé ne pas abordé le sujet semblerait-il. Liam s’était approcher précipitamment du nouveau venu et se présenta. Ellie haussa donc les épaules en jetant elle aussi un œil aux alentours. Cependant, le mot de départ fut annoncé et elle se retourna vivement vers Frederick. Il était temps de partir.

-Bien… oui. D’accord, allons-y. Mes valises sont dans ma voiture. Il va donc falloir que je la change de stationnement.
Elizabeth entrepris alors une marche rapide vers la sortie.

Tout en sortant, elle dit :

-Tant mieux, nous sommes alors tous dans la même confrérie. Quelle chance!

Elle eut alors un petit sourire. Et elle se dirigea donc vers sa voiture.