Au gré du vent, ... non, pas de poésie aujourd'hui. Oui, Morgan en ce moment était soumis à quelques inspirations poétiques qui lui traversaient l'esprit quelque fois. Mais inutile de vous exposer se ridicules créations plus risibles que sentimentales. Il marchait dans cet IMMENSE couloir qu'était celui qui comportait les casiers, il cherchait le sien, on lui avait donné son numéro, le 1974, pour le trouver, il se devait de prendre le couloir de l'aile droite et de remonter le couloir du coté gauche. Cette université était vraiment une grosse farce. On mets des casiers à ta disposition qui sont dans un batiment à part et en plus au fin fond des étages du rez-de-chaussée supérieur de l'aile droit tout droit à gauche ... Enfin, finit de se plaindre. Il avait la musique dans les oreilles, il n'avait pas mis le son trop fort, il essayait de se relaxer. Il marchait, reluquait chaque numéro de casier afin de ne pas rater le sien. AH ! Il trouva enfin son casier et maintenant, tenta de l'ouvrir en composant le code. Au même moment, une jeune femme ouvrit très rapidement le sien qui se situait juste a coté.
Morgan arriva enfin a ouvrir son casier, mais, il fit tomber la feeuille sur laquelle était noté le code, en se baissant pour la ratrapper, il se prit la porte du casier de la jeune femme qui était à coté et tomba à la renverse. Il s'assit et se tâta la tête.
"Eh beh dis donc, les jeune fille d'ici sont plutôt dangereuses ..."
Dit-il d'un ton qui se voulait faussement méchant, car il avait observé la jeune fille et elle ne paraissait plutôt sympa.