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 Les Apparences Sont Parfois Trompeuses [Denise Ortega]

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MessageSujet: Les Apparences Sont Parfois Trompeuses [Denise Ortega]   Les Apparences Sont Parfois Trompeuses [Denise Ortega] I_icon_minitimeSam 29 Aoû - 23:25

La soirée était encore jeune, très jeune pour être franc. J’entrai dans la taverne du vieux Willy et je pris place à un tabouret au bar, un endroit que j’affectionnais tout particulièrement pour pouvoir parler avec le barman, surnommé par tout le monde « le vieux Willy ». Comme d’habitude, il me demanda ma carte d’identité lorsque je lui commandai un martini, un cocktail ne collant pas du tout à l’atmosphère qui régnait dans la taverne. En effet, un Martini était plutôt fréquent dans les clubs branchés alors que dans une taverne comme celle dans laquelle je me trouvais actuellement, une bière en bouteille était de mise. Tant pis, je ne changerais pas mes habitudes « alimentaires » pour être conforme à l’ambiance d’un endroit. Je sortis ma carte d’étudiant et je la montrai en riant à Willy :

- Tu sais mon vieux, après trois ans que je fréquente cette taverne, tu devrais savoir que je suis en âge de boire…

- C’est ça, dit-il sur un ton ironique. Alors, c’est la terminale cette année ? Tu as commencé à regarder pour des emplois ?


Petit détail, Willy ne savait rien de ma vie en dehors de cette taverne. Bien entendu je lui racontais quelques histoires de temps en temps mais ça s’arrêtait là. Après toutes ces années, il n’avait jamais cliqué que je pouvais, dans l’ombre d’une seconde, le fils du richissime Mark Fronner. Selon lui, j’étais un bon élève à l’université et j’avais souvent des histoires à raconter, au grand bonheur de ses oreilles. Je commençai à boire mon verre en regardant deux hommes, assez baraqués, parier sur leur prochain coup de billard. L’un d’eux frappa sur le mur derrière lorsque son concurrent réussi le coup sur lequel il avait parié. Je trouvai cette scène amusante et Willy me demanda quelque chose qui retint mon attention :

- Alors, cette nana dont tu m’as parlé hier, ça va bien entre vous ?

- Ne m’en parle pas. Je sais pas, je la trouve attirante et tout mais j’ai l’impression que je suis pas capable de lui dire, on dirait que quelque chose m’en empêche…

- Je sais ce que c’est. Tu es trop fier. Comme tu me le dis souvent, vous vous chamaillez tout le temps, c’est presque si vous vous détestez. Laisse tomber cette compétition et dis-lui ce que tu ressens vraiment. Ça va être dur mais tu vas aimer la suite.


Pendant qu’il me prodiguait ses précieux conseils, je tournai la tête vers la porte lorsque j’entendis la clochette accrochée à la porte retentir. Une fille venait d’entrer. En fait, à mon âge, je devrais plutôt dire une femme car aucune adolescente que je connaisse ne ressemblait à cette femme. Je la connaissais, c’était une élève à l’université, tout comme moi, probablement aussi en année de terminale. Elle s’avança vers le bar et prit place à côté de moi et se commanda une bière en bouteille. En regardant mon Martini, je fus un peu gêné. Je le fis glisser un peu plus à côté de moi et mon regard croisa celui de Willy, plutôt amusé de me voir refuser un regard vers la femme qui avait pris place à mes côtés.

[Et bien, je crois que je n'étais pas si rouillé que ça XD]
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MessageSujet: Re: Les Apparences Sont Parfois Trompeuses [Denise Ortega]   Les Apparences Sont Parfois Trompeuses [Denise Ortega] I_icon_minitimeDim 30 Aoû - 15:47

Le temps était plus que magnifique, où on ignorait ce que pourrait bien mettre sur le dos… Tellement qu’il fessait chaud, on ne se gênerait même pas de se promener nu mais ceci serait un attentat a la pudeur. Et de toute façons, ce n’est pas ce que Denise avait l’intention de faire, jamais elle oserait se promener complètement nu même sur une plage nudiste. Même si, rien que pour voir les hommes, elle ne dira pas non. Comme si elle n’avait pas encore vu assez d’homme nu dans sa vie. Pauvre femme. M’enfin, que pouvait-elle faire de cette journée, ou plutôt cette soirée ? Surtout qu’elle n’avait pas son fils ce soir, et tant mieux. Ses parents lui avait gentiment prit le petit Félix chez eux. Ce qui la permettait de sortir ce soir boire quelque verre ou autre. Cela fessait désormais combien de temps qu’elle n’était pas sortie ? Des moins, elle croit bien, depuis qu’elle avait été engager ici a l’université de Bronw … Elle en était plus que ravis, maintenant, elle n’était plus obligé de se faire des hommes riches, pour leur voler leur carte de crédit, leur argent.

Elle ne fessait pas tout le temps ce genre de chose, elle ne se comparer pas comme d’une voleuse, loin de là. Elle fessait cela pour son fils, pour qu’il est de quoi manger, de quoi s’amuser avec des jouets, d’être tout simplement comme un autre enfant de son âge, heureux… Elle n’était peut-être pas riche comme tout ses gens, qu’elle voyait dans la rue, passer avec leur bagnole qu’elle ne pourra s’en doute jamais s’en payé une. Mais, sérieusement, qui voudrait ( les hommes riches) ce faire une femme qui n’est pas dans la même classe social ? S’en doute personne, c’est peut-être pour cela qu’elle était plus que maline que c’est petite prostitué qui traînait dans les rues qui se fessait des hommes marier. Elle se fessait tout simplement passer pour eux, pour une riche. S’habillant dans une robe qui lui avait goûte la peau des fesses, enfin pas vraiment, avec leur argent. Elle était donc vêtue d’une longue robe noire de chez lilly, l’une des boutiques de bourges.

Alors qu’elle arriva avec un taxi, n’ayant pas de limousine. Elle paya au mec avant de sortir, et de se diriger directement vers le bar. Un truc assez embarrassant. Pourquoi continuait –elle a ‘’ sucer ‘’ l’argent des hommes riches ? Peut-être par habitude, ou tout simplement parce qu’elle aimait faire cela. Elle voulait plus d’argent qu’elle en gagne, ce qui est était visiblement possible. Elle entra dans le bar des petites bourgeois, se dirigeant directement au bar, prêt d’une homme en chemise, et pantalon classique, sans cravate. Tombait-elle sur un faux riche ? Elle n’en sait rien, et elle allait vite le savoir, ayant un ton pour des parasites….

Elle lui lança un petit sourire, le regardant alors que lui n’avait cas trouver de mieux qu’à l’évider. Non d’un chien, sur qui venait-elle de tomber, faux riche, et un coincé ? Coincé elle, en était certaine mais faux riche, elle n’en sait rien encore mais voyant son allure, elle se trompe. Le sourire aux lèvres, elle regarda le barman qui essayait les verres … Elle n’allait pas éternellement le fixé tout de même. Connaissant un peu se jeune homme, qui devait certainement savoir dès qu’elle partait avec un homme, ce n’était s’en doute pas pour jouer au carte.

    • Un tequila sunrise

Dit-elle en regardant le barman. Hum, il n’avait de rien de meilleur que cette boisson… A la longue, qu’elle y alla, elle n’avait plus vraiment besoin de commander, il le préparait déjà…
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MessageSujet: Re: Les Apparences Sont Parfois Trompeuses [Denise Ortega]   Les Apparences Sont Parfois Trompeuses [Denise Ortega] I_icon_minitimeDim 30 Aoû - 20:55

C’était une femme plutôt séduisante, n’ayant jamais remarqué les courbes envoûtantes qui parcouraient son corps. Peut-être à cause des vêtements qu’elle portait actuellement et qu’elle ne portait probablement jamais à l’école. Elle me lança un petit regard amusé et je souris tout seul, fixant le mur derrière Willy qui accueillait toutes les bouteilles d’alcool que les clients pouvaient commander. Seules des bouteilles d’exception reposaient sur le haut du mur. Des alcools pour la plupart, bourbon, scotch, cognac ou encore du vin. Personnellement, je n’avais jamais commandé un verre d’une de ces bouteilles, premièrement n’aimant pas beaucoup les alcools autres que le champagne et deuxièmement, si je me fiais à la façon dont Willy me parlait de ces bouteilles, des bouteilles portant chacune une histoire qui leur est propre, déboucher l’une d’elles serait un véritable supplice pour ce vieil homme aux conseils avertis.

En usant de ma vision périphérique, je pus voir que la femme assise à mes côtés me faisait encore de l’œil en sirotant son cocktail que Willy lui avait servi. Celui-ci me fit encore un clin d’œil et j’affichai un message clair et net dans mes yeux : ne viens pas m’emmerder. Du revers de la main, je ramenai mon Martini devant moi et j’attrapai une olive qui reposait dans le fond de mon verre. Le goût de l’alcool l’avait déjà envahi mais heureusement, le goût de l’olive était encore présent et ma gorge en était ravie.

Ce silence me mettait mal à l’aise et Willy semblait bien le voir, me fixant en essuyant ses verres crasseux dans un coin. Mon portable sonna. Enjoué, je regardai le ciel et je remerciai le ciel de me sauver de ce silence. Je décrochai rapidement et je vis qu’il s’agissait d’un message texte. Il était de Millie :

Code:
« Salut tête de con !
 
  Je suis nue dans mon lit avec un mec, tu veux venir ? »

Ce message me fit éclater de rire. C’était bien de Millie et ça correspondait parfaitement à son humour disons, souvent de mauvais goût, surtout lorsqu’il s’agissait de moi. Je fis signe à Willy de venir et je lui dictai le message :

« - Tu vas pas y croire. Écoute bien. Salut tête de con, je suis nue dans mon lit avec un mec, tu veux venir ? Elle commence à me taper solide sur les nerfs, tu ne crois pas ?

- Elle te teste…
»

Je ne savais pas si je devais croire ce message ou me fier à mon instinct qui me criait de ne pas croire ce message et de penser qu’elle me testait. D’un autre côté, j’étais jaloux. Pour être franc, j’avais quasiment des envies de meurtre en pensant au mec qui serait dans un lit avec Millie avant moi.

Un homme complètement ivre, peut-être plus que ça à le voir aller, s’approcha de moi et cria :

- Hey Fronner ! C’est ta pute de luxe ? Elle a de gros nibards en tout cas…
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MessageSujet: Re: Les Apparences Sont Parfois Trompeuses [Denise Ortega]   Les Apparences Sont Parfois Trompeuses [Denise Ortega] I_icon_minitimeDim 30 Aoû - 21:41

Denise avait l’oreille un peu trop curieuse, elle ne peut s’empêcher d’écouter la conversation des deux jeunes hommes. En plus, c’était très divertissant quand même … Une fille l’invitait dans son lit pour faire une partouze ? La chance hein ? Elle se trouvait donc a coté d’un petit coquin, un vicieux, un pervers ? Et riche en plus ? La chance, elle venait de trouver l’homme idéal, le vrai de chez vrai. Tout ce qu’elle aime, c’est sur, ce mecs est sur sa prochaine liste et même le premier.

Elle allait tout faire pour aller dans son lit parce que, elle ne pouvait malheureusement et personne n’avait le droit, de mettre un pied dans sa chambre ou même invité un homme chez elle. Pas avant que son fils a un âge qui peut comprendre qu’elle pouvait avoir un mari même si pour le moment ce n’était pas ca qu’elle cherchait loin de là. C’était plutôt les aventures d’un soir, qu’elle accumule et de toutes façons, elle aime ça alors pourquoi s’en privé ? Ca lui apportait pas mal d’argent en plus.

Enfin, voler. Parce qu’elle n’osait pas demander à l’homme après leur rapport sexuelle, tien j’ai oublié de te dire c’est 250 $ de l’heure… Elle ne voulait pas se faire passer pour une pute non plus. Mais, quelque chose lui dit, qu’elle avait déjà vu quelque part mais où exactement ? Il ne fallait pas qu’elle face une gaffe. Surtout qu’elle était nouvelle ici, et si on apprenait réellement ce qu’elle fessait.

Par contre, elle ne pouvait pas s’empêcher de sourire, tout en lâchant un rire, ‘’ salut tête de con ‘’ . Elle l’aimait vraiment ou pas ? Bonne question. Mais bon, elle but une gorger, l’oubliant un peu, de toutes façons, visiblement, il n’avait pas l’intention de lui parler ou même de lui adresser la parole. Quel homme ! Alors qu’elle entendit quelqu’un bourré plus que jamais , venir a la rencontre de Fronner criant a travers le bar. Ah au moins, elle connaissait son nom, c’est mieux que rien non ?

Mais, la fin de phrase par contre, cela ne lui plaisait guerre est)ce sa pute de luxe au gros nibards ? Sérieusement, elle ne le connaissait a peine, qu’il allait ce faire foutre espèce de trou duc…. Elle le regarda, sans rien dire, avant de lancer un regard au jeune homes assis a coter d’elle.. Elle ajouta la chose suivante :

-La petite pute de luxe tu sais ce qu’elle te dit ?

Dit-elle en se levant, avant de lui envoyé son verre en pleine tronche … Qu’avait-il a dire une telle chose sérieusement ? Elle ne lui avait pourtant rien fait ni dit ? Elle soupira, reposant le verre sur le comptoir. Bon, elle n’avait plus qu’à en commander un autre ou tout simplement quitter ce fichu barre. Au moins, il y a une chose positif, ca lui a bien rafraichir la mémoire.
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MessageSujet: Re: Les Apparences Sont Parfois Trompeuses [Denise Ortega]   Les Apparences Sont Parfois Trompeuses [Denise Ortega] I_icon_minitimeLun 31 Aoû - 0:19

L’ivrogne reçu le contenu du verre de la femme en pleine figure et visiblement déséquilibré, il tomba lourdement au sol en continuant de beugler comme un dégénéré. Cette scène m’amusa et ce fut la première fois que j’accordai un regard à la femme. Nos regards se croisèrent et je souris. Nul doute, c’était une très belle femme. Je terminai mon verre en avalant la dernière olive de celui-ci et je sortis mon portefeuille de la poche de mon veston. Je sortis un billet de vingt dollars et je le tendis à Willy qui l’accepta sans dire un mot.

Je lui donnais toujours beaucoup de pourboire, parfois je pouvais lui donner un billet de cent dollars pour une boisson qui en vaut cinq. Il ramassa mon verre et alla le placer avec les autres verres ayant été utilisés. Après lui avoir souris, je me levai de mon tabouret et j’allais aider l’ivrogne à se relever. Malheureusement pour mes oreilles, il beuglait encore des obscénités :

- Je vous emmerde tous comme vous êtes ! Willy c’est un enfoiré ! La pute de luxe a de faux nibards ! J’vous emmerde !

- Ouais, on va lui dire à Willy que c’est un enfoiré et je ferai part de ton compliment à la dame. Maintenant, on va aller faire un tour à l’extérieur, qu’est-ce que t’en dit ?, dis-je à la rigolade, sachant très bien que cet homme ne comprendrait pas le sarcasme dans ma voix.

- Ouais ! Allons dehors loin de ces enfoirés !


En l’agrippant par le col de sa chemise, je le mis dehors à la façon d’un film de gangsters. Je mettais souvent ce même homme à la porte de la taverne, pratiquement à chaque fois que je venais. Je ne le connaissais pas mais je ce que je savais, c’était qu’il buvait comme un trou depuis maintenant un an. Je l’avais déjà vu quelques années auparavant, c’était un homme raffiné et se préoccupant de son apparence. Aujourd’hui, il faisait pitié à voir.

Je revins au bar et je pris place au même tabouret sur lequel j’avais pris place, vingt minutes auparavant. Je demandai à la femme si tout allait bien :

- Il ne vous a pas trop offusqué ? Il fait tout le temps ça, il faut qu’on le sorte nous même sinon il ne trouve plus la sortie et à la longue il devient chiant. Au fait, je suis Justin Fronner, le fils de Mark.

Voilà, je venais de griller la meilleure carte de mon jeu. Le nom de famille et le prénom de mon père. S’imposer supérieur. Une technique que j’avais mise au point plusieurs années auparavant. Je suis toujours plus en contrôle de mon environnement lorsque j’en suis le maître et pour être maître de son environnement, il suffit d’être supérieur à son adversaire. Lorsque vous vous appelez Justin Fronner, ce dernier point est assez facile à réaliser.
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MessageSujet: Re: Les Apparences Sont Parfois Trompeuses [Denise Ortega]   Les Apparences Sont Parfois Trompeuses [Denise Ortega] I_icon_minitimeLun 31 Aoû - 16:21

Denise n’ajoutait plus rien d’autre, et pour quoi faire ? Cela allait l’enfoncer plus qu’autre chose. Elle avait déjà eu à faire a des genres d’abrutit de la pires espèce. Cela ne la touchait plus vraiment. En faite, jamais cela ne l’avait touché personnellement. Pas parce qu’il avait raison loin de là, elle était loin d’être une petite pute en chaleur. C’est ce qu’elle pensait mais voyons comme si ma Denise Ortiga était une petite pute, c’est totalement faux. La pute à Fronner ?. Combien la payait-il si c’était le cas ? Bonne question. Et de toute façon, elle ne voulait pas vraiment savoir.

En tout cas, ce gente gentleman se leva de son tabouret pour payer ce Barman a tête de con. Il sortit un billet de vingt dollar. Il avait autant bu ? Ou était-il si généreux ? Tien, il aurait put payé son verre en même temps, non ? Elle lâcha un soupire, regardant les deux jeunes hommes se diriger vers la porte de sortie. Avant que Fronner le jeté comme un sac a patate du bar. Ce qui était assez bizarre, c’est qu’elle avait reconnu le mec. Oui, elle le connaissait bien même. Un ancien petit riche avant d’être ruiné pour une raison quelconque.

Elle l’avait rencontré autre part qu’ici, fessant son petit malin avec son fric, draguant toutes les filles sur son passage, jusqu’au moment qu’il rencontre cette tigresse de Denise. Qu’elle n’avait fait aucune pitié pour ce mec. Ils avaient passé une excellente nuit tout les deux jusqu’au moment qu’il se réveille où il se rend compte qu’elle lui avait piqué ses cartes de crédits. Ah ben tien, elle ne fessait pas cela pour rien. Mais rassurez vous, ce n’est pas elle qui la ruiner, enfin, c’est ce qu’elle croit, elle n’avait que pris cent mille dollars rien de si méchant.

L’avait-il reconnue ? Peut-être bien qui dit ? C’était pour cette raison qu’il l’avait traiter de telle sorte, mais heureusement, il n’était pas aller si loin et fallait dire, le jeune homme ne le lui avait pas laisser le temps et tant mieux. Elle aurait peu ce défendre comment ? Elle ne serait certainement plus la bienvenue dans ce bar. Le sourire aux lèvres, elle regarda ce parfait gentleman. Comme elle le disait, il est le prochain sur sa liste. Sexe et argent. Ou peut-être sexe tout simplement, un signe de merci.

La belle ne pouvait pas s’en pécher de lâcher un rire quand cette abrutit avait crier qu’elle avait des faux nibards… certes, il les avait toucher et pourtant il n’en s’était pas plein pour autant, il avait même l’air d’aimer de les touchers et tout le tralala. Toujours debout face au bar, elle lâcha l’un de ses plus beaux sourire au jeune Fronner qui se présenta dont que sérieusement, elle en avait rien à foutre qui était son père, Mark ? Ouais et le sien, s’appelle Alexander. En faite, elle n’avait jamais connu ses parents mais, elle avait fait quelque rechercher depuis quelque années, et elle était tombé la dessus, trouvant le nom de son père et celle de sa mère d’ailleurs.

  • Non, c’est bon, je ne suis pas choqué par ses paroles. Il en faut plus pour que quelqu’un y arrive.


Sauf si on s’empennait à son fils là par contre, il n’aurait pas eu simplement son verre dans sa tronche … Elle tenait énormément a son fils ; elle n’hésiterait pas a tout faire pour qu’il soit un minimum heureux. Toujours le sourire aux lèvres, elle ajouta :

  • Je suis Denise. Et merci de m’avoir débarrassé de se minable.


Dit-elle en prenant sa veste, la mettant sur son dos. Elle n’avait plus trop envie de rester ici et elle présume que lui également. Il allait la suivre s’en aucun doute, tout les mecs fessait ça. Désormais, elle les connaissait par cœur
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MessageSujet: Re: Les Apparences Sont Parfois Trompeuses [Denise Ortega]   Les Apparences Sont Parfois Trompeuses [Denise Ortega] I_icon_minitimeMar 1 Sep - 7:50

- Mais tout le plaisir est pour moi et il était le temps pour lui de rentrer, sa femme commence généralement à s’inquiéter après 6 heures parce qu’il est supposé être rentré pour le dîner. Enfin, c’est ce que j’ai compris depuis trois ans, il est pas très bavard. Willy, sers m’en un autre.

Tout en détournant totalement mon regard de la dénommée Denise, je posai mon regard sur Willy qui reprit le verre que j’avais utilisé et y prépara un Martini et pour couronner le tout, il y ajouta quatre olives, sachant bien que je lui demandais toujours d’en rajouter quand il n’en mettait que deux, comme indiqué dans la plupart des guides servant à fabriquer les cocktails les plus populaires. Le Martini n’ayant jamais été le cocktail que Willy savait le mieux faire, enfin, la totalité des cocktails en général, il avait appris avec le temps et avec mes demandes à les préparer. Aujourd’hui, c’était maintenant lui qui me faisait découvrir des cocktails. Certains étaient excellents et certains nécessitaient un grand verre d’eau pour vous nettoyer le gosier du goût infect d’un des cocktails préparés par le bon vieux Willy. À chaque fois qu’un me plaisait ou ne me plaisait pas, il le notait pour des soirées futures.

En trois années, j’avais réussi à changer les habitudes d’un barman ayant servi des bières pression pendant plus de vingt ans pour qu’il fasse découvrir de nouvelles saveurs à ses clients. Comment avais-je fait ? Même moi je l’ignore encore. Probablement à cause de l’excellente relation que j’avais tissée avec lui. Il était devenu mon confident. Je ne venais plus dans cette taverne pour boire un coup et rentrer bourré à la résidence : j’y venais pour voir un ami et écouter ses conseils avertis et judicieux..

Willy fit glisser le même verre dans lequel j’avais bu quelques minutes auparavant et retourna vaquer à ses occupations de barman. Je lui demandai sur un ton moqueur :

- Euh, tu peux m’expliquer pourquoi tu m’as redonné le même verre ?

- C’est le dernier de mes deux verres pour ces trucs là, tu le sais bien, tu as cassé l’autre il y a un an.

- Ah ouais, je m’en souviens…C’était pour quel motif déjà ?

- Ça me fait un plaisir de raconter ça encore. Hey, madame ! Vous voudriez pas savoir comment ce garnement a brisé l’autre verre à Martini que j’avais ici il y a un an ? Ne partez pas, je vais même vous offrir un autre verre mais cette fois-ci pas un truc exotique, une de mes créations, le Liberty State !, dit Willy avec entrain en regardant Denise.


Avant même qu’elle n’ait répondu, il s’afférait déjà à lui préparer le Liberty State, un nom qui m’était totalement étranger à part pour les mots dont je connaissais la signification. Je lançai un regard en direction de Denise qui avait mis sa veste sur son dos. Elle semblait vouloir partir : avais-je fait quelque chose de mal ? J’aurais peut-être une chance de ne pas me faire détester d’une autre femme si je me fiais aux efforts que Willy déployait pour la garder dans son établissement.

- Quand il est excité comme ça, c’est signe qu’on va passer une bonne soirée à écouter ses histoires…
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MessageSujet: Re: Les Apparences Sont Parfois Trompeuses [Denise Ortega]   Les Apparences Sont Parfois Trompeuses [Denise Ortega] I_icon_minitimeMar 8 Sep - 18:32

Pauvre femme. Oui, jamais Denise ne voyait sa vie de cette façon de vivre sa vie, et surtout l’homme de sa vie. Elle n’hésiterait pas a le foutre a la porte, et aller en chercher un autre, ce n’était pas ca qui manque des hommes. Bon, Denise avait un caractère assez spécifique, elle jugeait les gens selon leur statut leur physique, leur intelligence, ayant toute de même 4 diplôme elle pouvait un peu se venter de pas être débile comme tout les autres professeurs de l’université, elle avait eu sa place parce qu’elle avait mérité amplement et non parce qu’elle porte des mini jupes et un débarde, d’une façon comme une petite trainé

Alors que la jeune femme regarda le jeune homme, lui proposant un autre verre. Comment refusé une telle offre surtout avec un si charmant jeune homme comme celui-ci. Elle allait certainement faire comme tous les autres mecs, en plus de cela, il était comme son sauveur. Il l’avait débarrassé de cette petite merde qui trompait sa petite femme.
Le sourira aux lèvres, elle y répondait la chose suivante :


  • Merci


Dit-elle simplement ne sachant que dire quoi de plus. Elle se sentit un peu mal ) l’aise de bavarder avec une jeune comme lui et surtout qu’il avait déjà l’air d’être un gros riche tout ce qu’elle aime on dirait. Mais allait-elle faire comme tout les autre comme particulièrement le type qu’il venait de jeté a la porte ? Ce fameux Will avait l’air de si bien le connaitre, si il apprenait qu’elle avait piqué sa carte de crédit ou autre chose, qui lui rapporte de l’argent. Elle avait bien peur d’avoir une autre image d’elle, ce qui est évidant, non ?

Certes, qu’elle n’allait pas continuer tout sa vie a faire ce petit jeu, mais quand elle n’aurait pas une vie stable et un revenu qui n’arrive toujours pas a zéro a la fin du mois, elle arrêtera mais disant cela que c’est pour son enfant qu’elle fait cela . Fait-elle une criminelle ? Pas vraiment.

Les hommes payaient les femmes pour passer une nuit ensemble alors qu’une bonne femme les attends sagement a la maison, n’est pas eux ? M’enfin, alors que Denise regarda le jeune homme, tout en le regardant de haut en bas, en fessant attention qu’il ne le remarque pas, non plus ni même sa fameux barman qui racontait une histoire que sérieusement, elle en avait rien a faire, comme tout le temps. Elle lui souriait gentiment, fessant croire qu’elle l’écoutait, ce qui est faux.

En tout cas, elle espère que le barman avait tort, elle n’avait nullement envie de l’écouter tout la soirée ses histoire d’héroïsme, elle avait bien autre chose en tête , a faire de cette merveilleuse nuit. Alors qu’il racontait encore une autre histoire, en tout cas, il était bien bavard ce jeune homme, elle buvait calmement son verre qu’il lui avait offert. Doucement, elle glissa sa mains sur sa propre cuisse, hésitant de le mette sa mains sur la cuisse de Fronner. Mais c’est comme on dit , celui qui ne tende rien n’a rien….


  • Vous êtes un bon citoyen américain à ce que je vois, celui qui enfreint aucune lois, celui-ci qui aime aidé les gens … J’aime les hommes comme vous, dommage, qu’ils ne sont pas tous pareil.


En faite, elle aimait plutôt les méchant mais bon, ce n’était pas son cas, elle ne pouvait donc pas dire une telle chose
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MessageSujet: Re: Les Apparences Sont Parfois Trompeuses [Denise Ortega]   Les Apparences Sont Parfois Trompeuses [Denise Ortega] I_icon_minitimeJeu 10 Sep - 1:25

Willy entama son histoire à propos de ma bagarre dans la taverne environ deux années auparavant. Je l’avais vécue et encore, Willy la racontait à chaque habitué de l’établissement. Les cinq ivrognes du coin droit, les trois motards jouant au billard et les vieux croûtons accrochés au bar qui parfois, pouvaient se compter par dizaines. Le plus drôle dans cette histoire de bagarre, c’était qu’elle était tellement futile et sans intérêt qu’elle en devenait drôle. C’était simple, un homme m’avait poussé et j’avais riposté en lui lançant mon verre à la figure et les éclats de verre lui avaient tailladés le visage et il s’était fait sortir à coups de batte de baseball par le barman de l’époque, à savoir Willy. Ce qu’il aimait le mieux raconter dans cette histoire, c’était de quelle façon il avait fait sortir ce trouble-fête de sa taverne et le plus drôle si on comparait les versions de l’histoire qu’il racontait chaque semaine, les façons dont il faisait sortir l’homme au visage ensanglanté par mon verre était toujours différentes, toujours.

Alors que je n’écoutais Willy que d’une oreille, Denise tenta d’engager la conversation avec une approche que je pourrais presque qualifier de…poétique. Moi, un bon citoyen américain qui respecte les règles et qui respectent les gens ? Peut-être est-ce l’image que je projette mais si vous allez demander aux initiés Kappa, je crois qu’ils pourraient bien vous raconter autre chose sur le Justin Fronner en charge des initiations et non sur l’élève nommé Justin Fronner. Peu de personnes sont au courant que je suis ces deux mêmes personnes. Je souris à cette pensée et je posai mon regard sur Denise. C’était indéniable, elle avait un corps de déesse. Ses courbes me rappelaient celles de Millie.

- Vous avez bien raison. Je suis un citoyen modèle, ha ha ha, dis-je d’un ton rieur et amusé.


Millie ! C’était principalement pour cette raison que je me retrouvais scotché continuellement à ce bar à siroter des cocktails toujours plus forts les uns que les autres. Notre relation était la plus compliquée que j’avais pu avoir avec une fille. Parfois nous nous embrassions passionnément en se faisant de douces caresses et en se murmurant des mots doux à l’oreille de l’un et de l’autre et quelques heures plus tard, nous pouvons très bien commencer à nous battre pour une raison complètement stupide et sans intérêt. Avec Millie, je ne savais pas quoi chercher mais je savais au moins une chose, je l’aimais. Ce que j’allais trouver m’importait peu, que je la déteste ou non, je voulais passer le plus de temps avec elle. J’étais le seul qui pouvait vraiment voir la véritable Millie et non les versions d’elle qu’elle pouvait projeter aux yeux des autres. Je voyais derrière le lourd masque derrière elle se cachait. J’étais CE garçon et souvent, elle me l’avait clairement fait comprendre mais parfois, je pouvais me permettre d’en douter, surtout lorsque je découvrais un autre de ses innombrables secrets. Le plus drôle là-dedans, c’était que je ne pouvais pas la blâmer, moi aussi j’avais des secrets qu’il ne valait mieux pas révéler au grand jour, particulièrement ceux qui concernent les initiations, celles dont on n’entend jamais parler directement, qui ne sont que des rumeurs.

Depuis mon arrivée à Brown, les initiations ont beaucoup changées non pas à cause de moi mais à cause des élèves qui composaient les Kappas : Jeremy, Tyler, Jack, Chuck et je pourrais en nommer beaucoup d’autres. C’est lors de notre ascension au « trône » des Kappas que le rite de la Canonisation était apparu : il consistait, comme dans le Moyen-Âge, à être accepté dans un groupe extrêmement fermé autrefois religieux. Dans ce cas-ci, il fallait avoir vécu une vie chrétienne exemplaire et avoir accompli deux miracles. Chez les Kappas, le terme « Canonisation » prenait un tout autre sens : pour être accepté chez le cercle secret des Kappas, il fallait avoir vécu toute sa vie dans la luxure et dans le pouvoir et avoir accompli deux Miracles Divins. Par Miracles Divins, il s’agit plutôt de tâches dictées par des haut membres du cercle secret, alias le « gouvernement » de la confrérie, un peu comme le Skull and Bones de l’université de Yale que nous connaissons très bien même si leur existence est tenue secrète. Les Kappas Alpha agissent dans le même sens que le Skull and Bones.

Denise posa une main sur ma cuisse ce qui me fit sursauter. Visiblement, elle essayait de me draguer mais au fond de moi, elle ne me faisait aucun effet. Encore une fois, j’allais devoir user de mes charmes pour me tirer d’affaire et éviter encore une autre engueulade monumentale avec Millie qui m’attendrait probablement dans mon lit, en train de dormir. Son message texte ! Je l’avais complètement oublié ! J’avais une chance de me montrer distant. Sans jeter un regard à Denise, j’attrapai mon portable et je répondis à Millie :

Code:
«  J’suis occupé. Peux pas venir »

J’appuyai sur la touche « envoyer » et je posai mon portable sur le comptoir et je demandai à Denise :

« - Alors Denise, dans quoi tu étudies à Brown ? Psychologie, Sciences ? Médecine ? »

[Désolé si il y a des longueurs, je me suis étalé sur les initiations xD]
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MessageSujet: Re: Les Apparences Sont Parfois Trompeuses [Denise Ortega]   Les Apparences Sont Parfois Trompeuses [Denise Ortega] I_icon_minitimeSam 12 Sep - 21:46

Un citoyen modèle ? Même après ce que le barman venait de raconter, Il ne devait pas avoir la même définition du mot, modèle. Il avait cassé, si elle avait bien tout comprit, ses verres ainsi que d’autre truc, fait de lui un bon citoyen, C’est vrai, l’homme en question les avaient fait chier, certes, mais comme on dit la violence ne résous jamais rien. Est-il rebelle ? Voyant son visage, il a l’air plutôt d’un coincé, qu’il faudrait bien qu’elle le décoince un peu. Il avait l’air tellement ‘’ bon ‘’ c’est-à-dire gentil, et non ce qu’on pourrait croire, dans son esprit plus que perverse. Elle peut se posé la question est-il bon, est-il aussi doué que les autres hommes qu’elle avait bien pu rencontrer dans sa petite vie minable.

Le voyant ainsi de face-à-face, on aurait du mal à croire qu’il attire toutes les filles, peut-être son argent mais niveau physique fessait-il l’affaire ? Excitait-il tout les minettes. ? Il était ni musclé, canon, et tout qui s’en suit. Il était tout simplement simple, oui, ni trop laid ni trop beau. Un homme que Denise a rarement fréquenté dans sa vie. Et oui, la petite brunette avait des gouts assez spéciaux niveau mec. Blond yeux bleu ? Telle que Brad Pitt ou encore Brian Littrell l’homme qu’elle fantasme dessus, rien qu’à voir une photo de lui dans les magasine people. Mais son style est d’un homme c’est un rebelle, musclé, et romantique quand ils sont rien qu’à deux, qu’il ne se gênerait pas de montrer en public qu’elle a envie d’elle, qu’il l’aime et tout qui s’en suit mais avec un fils désormais ce n’était nullement conseiller, il fallait qu’elle cherche un homme bien, qui aime les enfants, qui ne pense pas qu’au sexe, même si pour elle cela allait être très dur, mais, elle avait fait le choix de garder cet enfant maintenant elle assumait son rôle de mère célibataire.

Elle lui souriait en signe de réponse tout en buvant par la suite le verre offert par le gentleman. Pour ce qui concerne la communication, elle n’y comptait pas vraiment entre une femme et un homme , en faite, elle réagissait plus , elle parlait quand elle avait quelque chose à dire, comme ‘’ casse toi ‘’, ou bien, ‘’ a jamais ‘’ dès le petit lever du matin ou même elle partit comme une petite voleuse. Qui était le cas, non ? Non, voyons, comme si Denise était une voleuse, disons plutôt elle empruntait même si, elle ne le rendait jamais.. Et de toute façon, les petits riches, ne verraient même pas la différence qu’il était fait voler.

La belle brunette regarda le jeune homme pendant que lui, par grande habitude, il ne la regardait pas. A la longue, elle se demandait si elle avait quelque chose sur son visage, pour qu’il la dévisage tout le temps. Sa main sur sa cuisse, ne fessant rien d’autre que la poser, ni même la caresser. Elle n’allait tout de même pas lui montrait qu’elle était entrain d’essayé de l’exciter, enfin quelque chose de se genre. Elle ne voulait pas ce faire passer pour une petite salope sous ses yeux, une petite allumeuse. Avait-il envie d’elle ? Telle est la question. Mais Denise avait plusieurs atouts pour réussir , d’avoir ce qu’elle voulait.

Bien-sûr, si le jeune homme ne voulait pas d’elle, il n’avait qu’à la dire en face d’elle et elle partirait tout simplement. Elle n’allait toute de même pas le violer surtout qu’elle ignorait réellement si il en fallait la peine . En vaut-il ou non ? Elle n’osait pas lui dire vu que ce n’était pas s’une question a demandé à qui ce soit. Un jour, peut-être qu’elle le sera même bien plus tôt que prévus, si c’était un homme facile mais pour le moment, elle voyait que tout cela n’allait pas être facile du tout … Un coincé, voilà ce qu’elle était tomber, un homme qui est ‘’ sage ‘’ . Qui ne collectionne pas les aventures quel dommage. Elle retira sa main question de baisser sa gêne du jeune homme. Elle ne voulait pas le mettre mal à l’aise.

Le sourire aux lèvres, elle le regarda alors que celui-ci lui demanda ce qu’elle fessait ou plutôt ce qu’elle étudie. Elle répondit de la chose suivant :

  • Je n’étude plus depuis longtemps. Je suis ingénieur en ressource océanique, experte en eau profonde si tu préfère. Mais pour l’instant, je donne cours dans une école universitaire.


Répondit la jeune femme le sourire aux lèvres. Fait-elle une intello ? Avec ses multiples diplômes ? De plus, elle s’était toujours dit, qu’elle ira à l’armer . Oui, elle adorait tout ce qui entourait dans ce métier. Ou encore pompier mais pour une femme , est-ce bien ? Combattre le feu ? Prendre des personnes sur le dos dans une maison en feu ? Jamais, elle en serait capable . Mais, elle ne s’y plaint pas de sa vie , de ses études même si elle n’avait pas encore trouver une vraie place sur.

Toujours le regard plonger, dans ceux de Fronner. Elle lui détourna la question, sachant bien ce qu’il allait lui répondre. Il paraissait encore jeune , dont elle s’en doute bien qu’il devait encore aller à l’école, plus précisément, a l’unif. Elle lui demanda donc :

  • Et vous vous étudiez quoi à Brown ?


Hj: De même pour moi, pas mal d'inspiration :hiii: ]
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MessageSujet: Re: Les Apparences Sont Parfois Trompeuses [Denise Ortega]   Les Apparences Sont Parfois Trompeuses [Denise Ortega] I_icon_minitimeMer 16 Sep - 15:11

    Alors cette Denise que je croisais maintenant depuis quelques années dans les majestueux couloirs de Brown était finalement une prof ? Elle était plus vieille que moi ? Je lui adressai un petit sourire gêné, le fait qu’elle était plus vieille que moi avait toujours du mal à se rendre à mon cerveau. J’essayais de l’imaginer en train de donner un cours et si je me fiais à sa poitrine très développée, les élèves masculins devaient êtres plutôt distraits pendant les explications de Denise. À cette scène, je souris bêtement mais j’effaçai aussitôt ce sourire lorsque mon regard croisa celui de Denise, je ne voulais qu’elle me voit en train de visionner mes propres fantasmes…

    Experte en eaux profondes, c’était un métier qu’on ne voit pas tous les jours mais qui devait être probablement très excitant mais surtout, très enrichissant. Qui sur cette Terre pourrait refuser d’aller vous lancer dans l’inconnu, dans les eaux profondes dans ce cas-ci et découvrir de nouvelles cultures, des espèces inconnues de poissons et d’autres animaux aquatiques ? Peu de gens à mon avis.

    - Cela doit vraiment être très excitant de se lancer dans l’inconnu et aller explorer les fonds marins. J’adorerais vivre une expérience marine comme celle-ci.


    En disant cela, je souris et je bus une gorgée de mon verre qui était à présent complètement vide. Je le repoussai devant moi sans quitter les grands yeux envoûtants de Denise et je m’appuyai sur le comptoir avec mon coude. C’était une belle femme, très séduisante. Avec ses longs cheveux bruns qui lui tombaient en cascade sur les épaules, son regard accrocheur, hypnotique à la limite, m’attirait au plus haut point. Mais sur ce coup-ci, j’allais devoir contrôler ce que me dicterais mes couilles car comme à l’habitude, ce qu’elles me conseillaient était rare la meilleure chose à faire. Il est logique pour un homme de se contrôler lorsqu’il a promis à une autre femme de lui rester fidèle mais même si les femmes savent que les hommes ont de la difficulté à se contrôler, nous, les primates à l’état végétatif, comme elles se plaisent à nous appeler, savons faire preuve de tact et de ne pas tromper notre copine ou encore notre épouse lorsqu’elle nous satisfait totalement, ce qui est à la fin…logique.

    - Et vous, vous étudiez quoi à Brown ?
    - Oh, euh, bafouillai-je, c’est…les autres trouvent ça ridicule mais j’étudie le journalisme, j’aimerais devenir soit journaliste ou encore romancier mais vous devez probablement vous en douter, ces deux métiers sont souvent très liés, dis-je dans un souffle, visiblement inspiré par l’étude de mon métier. Ce que j’adore, c’est rester tout seul avec un stylo et une feuille de papier et faire sortir tout ce qui peut se passer dans ma tête. Selon moi, si je relirais tout ce que j’ai écris depuis que je suis arrivé à l’université, plutôt à Providence en fait, au aurait ma biographie complète.


    Visiblement confiant lorsque je parlais de littérature et d’écriture, je souris à Denise, continuant à la regarder dans les yeux, un jeu s’étant installé entre nous deux, une complicité était née. C’était vrai, j’étudiais le journalisme mais je faisais autre chose que ça aussi : le basketball. Les Bears de Brown n’étaient peut-être pas une équipe d’élite comme les Blue Devils de l’université de Duke mais à cause de ce niveau de jeu plus faible que la normale, j’avais réussi à décrocher une place de meneur dans le cinq de départ, un véritable exploit pour un rookie. Depuis, j’étais devenu un joueur clé dans la formation des Bears. N’étant pas très grand, environ un mètre quatre-vingt ce qui est relativement peu pour un joueur de basketball, j’étais souvent utilisé pour entrer rapidement dans la raquette lorsque la défense était confuse. C’est ainsi que je réussissais à marquer 25 points par match, en utilisant mon corps tout entier pour contrer la défense.

    Je jetai un regard derrière moi, en direction des tables de billard. Une des deux tables venait de se libérer. D’un bond, je me levai de mon tabouret et je me dirigeai tant bien que mal vers celle-ci, sentant l’effet de l’alcool lentement se propager dans mon corps. Je pouvais encore marcher mais disons…lentement. J’attrapai une queue de billard et je regardai Denise avec un sourire :

    - Vous ne voudriez quand même pas qu’un élève puisse se vanter d’avoir battu un professeur au billard ?
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MessageSujet: Re: Les Apparences Sont Parfois Trompeuses [Denise Ortega]   Les Apparences Sont Parfois Trompeuses [Denise Ortega] I_icon_minitimeVen 25 Sep - 19:55

C’est l’une des choses les plus excitant qu’il peut excité sur cette terre. Être en si bas profondeur dans les yeux, ayant le stress qu’il n’est plus d’oxygène. Oui c’était l’un des plus beaux métiers qu’elle avait bien pu faire mais le jour où elle s’était faite viré pour des raisons de ‘’ jalousie’’ Une femme parmi tant d’équipage masculin cela ne le fessait pas surtout qu’elle aimait foutre la merde un peu partout, donc elle avait du faire ses bagage et de remonter a la surface. Elle n’y comprenait pas vraiment pourquoi que son patron l’avait viré, c’était pour sa sécurité disait-il ? Non mais elle savait se défendre seul parmi ses mecs. Elle n’avait pas besoin de se parasite pour qu’il la protéger, enfin soit, maintenant elle pouvait plus rien faire. C’était fait.

Ce retrouvant donc vite sans travaille, et par chance, un homme dont qu’elle n’avait jamais connu au par avant , ni même entendu son nom quelque part, Lui donna un rendez-vous pour un nouveau travaille. Elle était bien heureuse qu’elle allait retrouver de l’emploie aussi vite même avec cette crise économique. Mais les choses ne se passèrent pas comme elle le souhaite, et ce qu’elle devinait. Elle devait étudier le triangle des Bermudes ? Un truc qu’elle n’y croyait pas du tout avant d’aller jusqu’à la bas où des centaines voir même des millions d’avion, de bateau y comprit ont disparu dans l’océan Atlantique. Où la superficie de se triangle doit y faire dans les 4 million mètre carrer, liant entre le point de la Floride et Porto Rico.

Comment pouvons-nous croire cette légende de dingue ? Des gens comme par magie ne revenait pas, qui disparait où sais-je. C’était une des histoires les plus délirant mais cela ne l’avait pas empêché de faire des recherches, de travailler pour un multimilliardaire. Comme pouvait-elle refusé une somme de cinq million de dollars sur elle réussissait avec son équipe a expliqué ce phénomène paranormal. Cette mission devait être si simple que l’argent était déjà dans ses poches, mais non, les choses ne s’était pas passer comme elle le souhaitait. A la longue des semaines qui passait plus elle y croyait et plus elle voulait approfondit ses recherche avec ses collègues où a se dirigée vers se fameux triangle d’où jamais, elle n’aurait du y aller.

Elle était toujours en vie, mais est-ce ça l’importance ? Elle avait vu des choses là-bas, qu’elle croyait qu’elle en serait folle, en parler a quelqu’un qui pourrait la croire ? Comme se fameux avion qui s’était craché son ses yeux, qu’en faite ce n’était qu’une vision, où le grand pont de Brooklyn qui disparait de peu à peu, ou encore sa mère d’où elle ne l’avait jamais vue de sa vie, étant orpheline dès sa naissance. Est-ce un rapport avec ses recherches est-ce réellement a cause de ça … du moins après son accident, elle ne se s’en rappelait de plus rien, et elle croit bien que c’est bien mieux comme ça, même si elle ne cesse de faire des cauchemars toutes les nuits.

Enfin soite, elle l’écouta dire qu’il voulait devenir enfin qu’il étudie le journalisme. Pourquoi se manqueront de lui, elle trouvait cela bien même très. Il avait déjà des projets pour l’avenir, même si, le voyant ainsi, il n’avait pas vraiment besoin de travailler, vu l’argent qu’il doit avoir sur son compte en banque. Même en travaillant toutes sa vie, elle n’aura même pas la moitié de son rémunération.

Elle souriait quand celui-ci lui expliqua qu’il hésita encore entre journaliste et romancier. Ah bon, pourquoi cela n’était pas lier ? Pour elle, ce n’était pas vraiment une grande différence, le journaliste sert à informer ce qui le facilitera encore plus pour son œuvre de roman, non ? Certes, cela demandera beaucoup de travaille et peu de temps de libre, si il prenait les deux professions et bien-sûr son livre ne sortira pas si vite comme d’autre écrivain qui eux ce consacre qu’à leur œuvre.

  • Pourquoi ne pas faire les deux. Oui, je sais. Ca prend beaucoup de travaille et vos temps libre, vos hobby et tout les reste vous devriez oublier quelque moment tout comme les filles d’ailleurs. Consacré plus à vos études avant, c’est mieux. Et de toute façon, vous avez toutes notre vie pour trouver la femme idéale. Mais bon, pour l’instant réussissez vos études et puis, vous pourriez penser au sacrifice.


Dit-elle en souriant de plus belle, tout en le regardant droit dans les yeux… avant d’ajouter la suite…

  • Quand vous l’aurez fini, faite le moi savoir, je serais ravis d’être votre première lectrice de votre ‘’ Biographie ‘’. Vous savez, jamais je me suis dite dans ma vie que je serais un jour professeur, que j’étais faite pour aller sur le terrain sous les eaux mais, j’ai du faire un sacrifice, ne permettant plus a cause de ma santé d’y aller… Mais regarder, je suis heureuse quand même, mais malheureusement, je n’ai pas sus faire une croix sur les hommes dont je crois que vous aussi vous aurez du mal de sacrifié les filles sauf si vous du genre coincé, et timide… En tout cas, je vous vois bien en tant qu’écrivain vous pourriez raconter tout vos délire ici avec votre ami.


Alors que le jeune homme proposa à la jeune femme de faire une partie de Billard. Sur le coup comment refusé mais elle regarda l’heure qui était accrocher sur le mur en face d’elle, où l’aiguille annonçait qu’il était déjà passé 23 heures du soir. Elle n’avait pas tellement l’habitude de rester dans des bars aussi longtemps, aussi tard. Mais bon, comment refuser cela de la part de se garçon, qui avait l’air si gentil. Elle lui donna un de ses plus beaux sourires avant d’y répondre les plus poliment possible.

  • De me vous surestimez pas trop vite mon chère … Vous n’avez encore rien vue.


Effectivement, elle était assez doué en cela et en d’autre sport d’ailleurs surtout les plus extrême ou encore le sport de chambre, ah l’esprit perverse reviens aussi qu’on croit. Est-ce ce gosse qui avait l’air d’en avoir 17 ans qui fessait cette effet, ou l’homme qui se trouvait au fond du comptoir où elle ne pouvait pas dire qu’il était moche, loin de là, il était si mignon, qu’elle oserait même abandonner cette homme présent pour le rejoindre, mais celui-ci était si infectieux, gentil qu’elle ne pouvait pas surtout qu’elle était prof elle devait monter exemple a ses élèves non ? De plus, il était pas si laid comparé au barman.

[Hj: Désolé du retard, mais bon, mieux vaut tard que jamaishein :sluuurp: :sluuurp: et désolé aussi de la longeur :hiii: :hiii: ]
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MessageSujet: Re: Les Apparences Sont Parfois Trompeuses [Denise Ortega]   Les Apparences Sont Parfois Trompeuses [Denise Ortega] I_icon_minitimeLun 5 Oct - 15:14


    Laisser tomber les gonzesses pour me concentrer sur mes études ? Il ne faut pas pousser le bouchon trop loin quand même ! C’est vrai, quelques fois, je néglige mes études pour passer du bon temps avec les représentantes de la gente féminine. Il m’est parfois dur de résister au charme fou des filles et lorsque je ne résiste pas, étonnamment, je ne trouve plus le temps de faire mes travaux. Qui dit travaux en retard dit forcément mauvaises notes et en ce moment, c’est ce que j’ai. Contrairement à Mount Pleasant High, acheter les professeurs n’est plus autorisé, enfin, les professeurs refusent les pots de vin, quels qu’ils soient. Je jetai un regard vers Willy qui s’adressait à Denise :

    - Vous savez Denise, je ne crois pas que le problème vienne des filles en général mais plutôt d’une en particulier, sa très chère Millie, pas vrai espèce de tombeur ?

    - Ouais…, dis-je en baissant les yeux. Il a raison, Denise, je n’ai pas besoin de laisser les filles de côté, c’est juste qu’il y en a une qui m’obsède mais notre relation est très étrange voyez-vous ? Elle fait tout pour se rendre désirable, elle me flatte les cheveux, m’effleure la peau à chaque occasion possible et je ne vous raconte pas ce qu’elle peut faire lorsque nous sommes tous les deux mais je vais vous épargner cette partie, dis-je en souriant, retenant un rictus. À chaque fois que je crois que l’occasion est bonne pour lui déclarer ma flamme, tout tourne toujours au vinaigre, j’ignore pourquoi, ça arrive tout le temps.

    Tout tournait toujours au vinaigre avec Millie : c’était une constante dans l’équation, quelque chose d’inévitable, peu importe les précautions que vous prenez. À quelques reprises j’avais couché avec elle et ça s’était toujours terminé en engueulade monumentale avec des portes qui claquent et des cris partout dans la chambre. Quelques jours plus tard, tout était oublié et nous recommencions comme si rien ne s’était passé et quelques semaines plus tard, il était toujours inévitable qu’une nouvelle bagarre allait éclater entre nous, ce que qui arrivait tout le temps.

    Je ne peux pas dire que je ne suis avec heureux avec elle, au contraire. En oubliant les bagarres et les conflits parfois armés à la crème fouettée ou à la pâte à gâteau, j’étais heureux avec elle, elle me faisait sourire en un clin d’œil. J’aimais me réveiller dans ma chambre et la rejoindre dans l’autre pièce, portant ma chemise beaucoup trop grande pour elle et ne portant rien du tout en dessous et lui caresser doucement les hanches, nouant mes mains au-dessus de sa taille, la serrant dans mes bras. Elle adorait le contact de mes main sur son ventre et s’amusait à me caresser les cheveux, renifler le reste de mon parfum de la veille, m’embrasser fougueusement dans le cou, ma petite partie très sensible mais extrêmement excitante. Mais, à ma grande déception, mes lèvres ne touchent jamais les siennes, quelque chose m’en empêche et je peux aussi sentir que Millie aussi hésite à m’embrasser. Je vis avec cette crainte du refus et je me repose sur les calîns et les sourires coquins. Ils me permettent de survivre en attendant le grand moment, où les cachotteries seraient révélées, où l’amour prendrait son trône et nous réunirait, tous les deux, Millie et moi.

    Revenons-en au billard. Je dois tout de même avouer que j’ai un certain talent dans le domaine, ayant commencé à jouer au lycée pendant les week-ends. J’étais même devenu très bon, ce qui m’avait valu le surnom de « la queue magique ». Personnellement, j’aimais bien ce surnom mais comme il avait un double sens venant d’un humour disons, un peu déplacé, j’avais demandé que l’on arrête de m’appeler comme ça.

    Je fis entrer quelques pièces dans la machine et je poussai le levier pour faire tomber les boules. Je les ramassai, tout en attrapant au passage le triangle pour placer les boules sur la surface de la table. Une fois en place, je retirai le triangle et je le rangeai sous la table. Je lançai un regard amusé à Denise et tout en continuant de la fixer du regard, j’attrapai une queue de billard et je me plaçai en position pour frapper.

    - Allons-y !
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