Denise avait fini sa journée particulièrement très ennuyeuse. Ce n’était que sa première semaine de cours, et elle en avait déjà marre. Pas qu’elle détestait cela mais, quelqu’un de ses élèves, qu’il ne comprendre rien alors pourquoi avoir prit un cours aussi difficile sachant bien que plus tard cela ne va pas leur servir a grand-chose, sérieusement ? Denise était une océanographe experte des travaux en eaux profondes, en gros un ingénieur de ressource océanique. Elle adorait son boulot et tout mais depuis son accident, elle ne pouvait plus vraiment se permettre de travers hors terre. Elle n’était plus vraiment capable à tout cela. Donc, elle avait prit la décision de donner cours …. Elle gagnait au moins quelque chose que rien, en restant sans travaille. Surtout qu’elle devait s’occuper de son fils, et sans travaille elle aura vraiment du mal.

Alors qu’elle rentra dans le starbuck, se dirigeant directement vers le comptoir. En commandant l’un de leur spécialité, qu’elle prenait quasiment tout les, jours, où elle n’avait vraiment plus a dire ce qu’elle voulait exactement a la jeune femme. Elle s’installa a coter d’un charmant jeune, elle lui adressa l’un de ses plus beaux sourire avant d’ajouter la chose suivant :

• Bonjour.

Hum quel homme… Il était tout ce qu’elle aime. Elle ne put malheureusement de le regarder de haut en bas, fessant attention qu’il ne remarqua pas, qu’elle le reluque comme un e petite chienne … Et de toutes façons, si il le voyait elle s’en fichait royalement. Qu’allait-il dire ? C’est un homme parmi tant d’autre, comme si cela leur dérangeait qu’une femme la mate

Denise ne se rappelais pas vraiment de ce jeune homme. Elle sait qu’elle l’avait croisé quelque part, mais où exactement, elle ne s’en souvient malheureusement pas. Mais, espérons qu’elle ne fessait pas une gaffe en commençant tout doucement à le draguer. De toute façon, qu’est-ce qu’elle risquait ici ? Tout ce qu’elle fessait a cette instant, du moins elle, elle ne l’avait que dit une simple ‘’ bonjour ‘’ rien de si méchant, ni même provoquant. Le sourire toujours au lèvre, elle ajouta la chose suivant écoutant ce qu’il venait de dire, ne voulant pas lui couper la parole. Mais quand celui-ci avoue étant un élève à Providence, cela lui fessait un raisonnement dans sa petite tête… Voilà, où elle l’avait rencontré, c’était certainement dans les couloirs de l’établissement.

Désormais, sachant son identité, est-ce raisonnable de lui dire la vérité ? Il devait peut-être s’en douter, non ? Qu’elle était prof dans son école. Parce qu’il n’avait qu’une seule grande université à Providence et s’était Brown. Et le voyant ainsi, il n’était plus au lycée depuis longtemps. Bon, elle finit par ce présentée :

-Denise Ortega.

A-t-elle besoin de dire ce qu’elle fessait ? Non. Cela ne le regardait pas, si lui il voulait dire ce qu’il fessait c’était son problème mais pas le sien. N’ayant pas comme élèves, elle s’en doute bien qu’il ne devait pas savoir tout les noms des professeurs qui travaillent la bas